// Centre Culturel Roquebrune // 

Les bâtiments d’origines sont typiques de l’architecture ferroviaire de la fin XIX° début XX° siècle. Il m’apparait alors fondamental d’en conserver les façades principales.

La trace du passé devient ainsi le contenant et le projet actuel étant le contenu.

Le premier axe de réflexion a été de se servir de cette architecture comme support et histoire du projet à venir.

Ce projet redonnera une nouvelle lecture de la gare en la

révélant, par des extensions venant se développer dans les enceintes que forme les murs de la gare. Ainsi, ce projet vient dialoguer avec une architecture existante.

Le thème de la distance, de l’entre deux, de l’interstice

de l’interface est ici fondamental.

La matérialité du projet et directement liée à l’histoire du chemin de fer, en utilisant l’acier corten pour l'ensemble des extensions du projet. Tout d’abord comme référence patrimoniale, mais aussi, pour venir contraster avec les bâtiments en pierre blancche de la gare.